EXCITANTE

Eudo chérie, il suffit de penser à elle et Max était dans tous ses états. Son membre se remplissait de plaisir, se durcissait et il avait du mal à se changer les idées.

Pourquoi cette magie avec Eudo et pas avec les autres filles que Max croyait aimer plus.

Eudo était plus grande que lui, une taille moyenne, un peu masculine d'allure, naturelle,

à la fois tendre et rugueuse. Elle l'envoûtait. Max voulait à tout prix se la taper.

Rien que de penser aux rares moments où il l'avait prise dans ses bras, se collait à ses fesses ou à son bas ventre quand ils dansaient la rumba, le rendait dingue d'elle.

Rien que de penser aux quelques baisers volés sur sa bouche ferme, aux moments où

il lui avait caressé ses petits seins mignons et tombants, il était rêveur se voyant avec elle. Max repensait de temps à autre aux moments où il lui avait tapoté les fesses et caressé le bas ventre.

C'était magique et pendant longtemps, il restait en érection, philosophant en même temps sur ce qui était vraiment si particulier chez Eudo.

La conclusion était chaque fois la même: Un désir fou de lui faire l'amour longtemps, dans toutes les positions, à la fois tendrement et fougueusement. Les deux se désiraient et cela se voyait. D'ailleurs, ils se l'avouaient.

Mais, curieusement, partagés entre l'amitié et l'amour, ils repoussaient toujours l'échéance.

Eudo et Max entretenaient bien leur rêve commun de s'envoyer en l'air dans leurs conversations et à chaque fois, ils remettaient le moment tant attendu pour plus tard.

Max lui disait que pour son fessier, il était prêt à tout. Eudo lui répondait que c'était à lui d'aller le chercher. Et, ils se faisaient languir, "se torturaient" par des moments d'excitation intense.

Ils continuaient à rêver  donc du moment crucial où ils allaient s'élever jusqu'au septième ciel, poussant leurs fantasmes au paroxysme. Leur désir devenait chaque fois incroyablement fort et intenable.

Quelle étrange relation pour Eudo et Drigo comme ils aimaient s'appeller très affectueusement.